Description
ATHLETIC LABS – SUSTANON est une thérapie de remplacement de la testostérone pour l’hypogonadisme primaire ou secondaire chez les hommes en présence de symptômes cliniques et de confirmation en laboratoire d’un déficit en testostérone.
Mode d’emploi, schéma d’administration et posologie
La préparation ATHLETIC LABS – SUSTANON doit être administrée profondément par voie intramusculaire (dans le muscle fessier).Le schéma posologique dépend généralement de la réponse individuelle du patient au traitement.La dose habituelle est de 1 ml une fois toutes les 3 semaines.Habituellement, on injecte 1 ml de la préparation une fois toutes les 3 semaines (1 injection de la préparation après 21 jours). Utilisation dans des groupes cliniques particuliers de patientsLes données limitées disponibles n’indiquent pas la nécessité d’un ajustement de la dose d’ATHLETIC LABS – SUSTANON chez les patients âgés (plus de 65 ans).Enfants et adolescents de moins de 18 ans: ATHLETIC LABS – SUSTANON doit être utilisé avec prudence chez les garçons prépubères, car la sécurité et l’efficacité chez les enfants et les adolescents n’ont pas été étudiées de manière adéquate.
Contre-indications
hypersensibilité aux principes actifs de la préparation (décanoate de testostérone, isocapronate de testostérone, phénylpropionate de testostérone et propionate de testostérone) et/ou aux excipients de la préparation, réactions allergiques à l’arachide ou au soja, cancer de la prostate (diagnostiqué ou suspecté), cancer du sein (diagnostiqué ou suspecté).
Mise en garde
Chez les patients âgés de plus de 65 ans, souffrant d’hypertension artérielle, d’affections thrombophiliques, d’insuffisance hépatique, rénale chronique et cardiaque sévère, de coronaropathie (avec tendance aux œdèmes), de diabète sucré, d’hypertrophie bénigne de la prostate, d’épilepsie, de migraine, d’antécédents de syndrome d’apnée, et de facteurs de risque tels que l’obésité et les maladies pulmonaires chroniques.
Enfants : ATHLETIC LABS – SUSTANON doit être utilisé avec prudence chez les garçons prépubères, car la sécurité et l’efficacité chez les enfants et les adolescents n’ont pas été suffisamment étudiées.
Avis
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